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« Si la Grèce quitte la zone euro, le niveau de vie de son peuple s’écroulera ! » | MoDem du Loiret
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« Si la Grèce quitte la zone euro, le niveau de vie de son peuple s’écroulera ! »

 

pour écouter l’interview, cliquer ici

François Bayrou a estimé que si le référendum grec portait sur l’euro, celui-ci ferait figure « d’épreuve de vérité, où tout le monde constatera quelle catastrophe entrainerait une sortie de l’euro », jeudi 3 novembre, sur France 2.

Invité de l’émission les 4 Vérités, le président du Mouvement Démocrate s’est consacré aux questions européennes et plus particulièrement à la crise de la zone euro.

« Je comprends la fermeté de Nicolas Sarkozy et d’Angela Merkel à l’égard du premier ministre grec, mais je ne pense pas que le peuple grec la comprenne. Une chose est certaine : une sortie de la zone euro serait une catastrophe nucléaire. Tout d’un coup, votre dette déjà himalayenne serait multipliée par deux ou par trois. Le niveau de vie s’écroulerait. L’Argentine a rencontré ce drame : le niveau de vie a diminué de plus de cinquante pour cent en six mois et plus de la moitié de la population est passée au-dessous du seuil de pauvreté », a-t-il pointé. Il en serait de même pour la zone euro, car la Grèce n’est pas la seule concernée : il y a aussi l’Italie, l’Espagne, le Portugal et à terme la France. La dette de notre pays a une différence de degré, mais pas de nature », a alerté François Bayrou.

Le leader centriste a rappelé son engagement de longue date pour la réduction des déficits publics. « Beaucoup de responsables publics et intellectuels ne voyaient pas en 2007 en quoi la dette pouvait être uni problème. Ils réalisent aujourd’hui la gravité de la situation. Le déficit et la dette sont une pente glissante sur laquelle, à partir d’un certain moment, les pays ne peuvent pas se rattraper. Ayons conscience que les pays peuvent eux aussi faire faillite, comme une famille, comme une entreprise. Et cette faillite, chaque fois ce sont les plus pauvres qui la paient », a-t-il analysé.

Face à cet état d’urgence, « c’est un plan de long terme et non pas un enchainement de rustines, qu’il nous fait », a-t-il prôné.

« Les médias présentent comme évident un duel PS-UMP à l’occasion de la prochaine présidentielle. Pour ma part, je suis convaincu que les Français vont se saisir du premier tour pour faire un vrai choix d’avenir pour le pays », a-t-il conclu.

 

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